Mère de quatre enfants, Ivonne Henriquez vit un cauchemar vivant au moment où il est apparu que son ex-conjoint s’était organisé pour faire prolonger les visas de ses enfants sans la permission de leur mère.
Pendant que les enfants sont autorisés à rester en Australie, le visa d’Henriquez est expiré et elle peut être expulsée.
La saga a commencé en 2008 quand Ivonne Henriquez a quitté les États-Unis pour l’Australie avec son partenaire et leurs quatre enfants.Son mari était citoyen américain, tandis qu’Ivonne est originaire du Venezuela, mais a fui de là pour vivre en Amérique.Leurs quatre enfants, âgés de 6 à 11 ans, étaient désemparés lorsque, il y a trois ans, leurs parents ont décidé de se séparer, mais un accord de garde partagée a été conclu.
Malgré la trahison, Ivonne n’a pas demandé la garde exclusive au juge. Elle croit que les enfants ont le droit de voir leur père et que l’entente de garde partagée fonctionne pour la famille depuis des années. Tous les enfants comprennent l’importance d’avoir papa et maman dans leur vie.
Les Amis d’Ivonne travaillent maintenant pour récolter des fonds pour la mère en difficulté afin de l’aider à stabiliser sa vie, ainsi que pour lutter contre la bataille juridique que son partenaire menace. D’autres demandent au ministre de l’Immigration Peter Dutton d’examiner le cas, y compris une autre mère de l’école des enfants, Jo Stendiford, qui a dit qu’il était » inquiétant » que l’ex d’Ivonne ait pu soumettre une demande pour ses enfants sans le consentement des deux parents.
Une pétition a été lancée pour la cause d’Ivonne, et elle est en pourparlers avec le ministère de l’Immigration et de la Protection des frontières pour savoir ce qu’elle pourrait faire ensuite. Elle leur a fait savoir qu’elle avait l’intention de demander un visa permanent pour rester en Australie, mais n’est pas encore certaine de la voie qu’elle peut emprunter pour y parvenir.
