La compassion est l’un de nos instincts humains les plus positifs, et nous, les parents, en avons beaucoup pour nos enfants. Il n’y a presque rien que la plupart d’entre nous ne ferait pas pour soulager la douleur de nos enfants, prévenir les luttes et dissiper la confusion. Nous voulons juste que la vie travailler pour eux.
C’était donc un grand « Ah-ha » pour moi quand j’ai découvert, grâce à ma formation avec Magda Gerber, spécialiste des enfants, que notre soutien bien intentionné peut souvent être moins utile que ce que nous voulons. En fait, cela pourrait même miner notre objectif d’élever des enfants confiants, résilients et motivés.
Par exemple, ce qui aurait pu être gagné ou perdu en aidant cet enfant de deux ans ?
Si vous êtes comme moi, vous vouliez l’aider. Tu l’as vraiment fait. (Et il n’était même pas du tout frustré !) Mais ce faisant, il aurait été privé du don inestimable de la découverte ; de la possibilité de pratiquer la ténacité, la concentration, la persévérance, la patience ; de la chance de posséder son accomplissement et d’apprendre « Je peux le faire ! »
Notre patience et notre retenue sont un défi, mais elles nous permettent de saisir des occasions en or. Et nous pouvons encore aider en utilisant ces conseils « utiles » :
Toujours, toujours, toujours, toujours répondre à une demande d’aide.
N’oubliez pas que la façon dont nous réagissons est importante. Observez et réfléchissez avant d’agir.
La définition de « help » n’est pas « fix it » :
- L’aide est faire attention. Quand les enfants nous demandent de l’aide, nous pouvons leur répondre : « Bien sûr, je vais les aider ! Qu’est-ce que tu fais ? » Le plus souvent, tout l’aide dont les enfants ont besoin est que nous soyons discrètement disponibles.
- L’aide est de soutenir nos enfants lorsqu’ils expriment leur frustration en reconnaissant, « Ouf, c’est difficile. Vous travaillez dur et faites des progrès. »
- L’aide est calmant nous-mêmes plutôt que d’encombrer l’expérience de notre enfant avec nos propres inquiétudes, anxiété et doutes.
- L’aide est maintenir une attitude positive et acceptante envers les luttes (après tout, la vie en est pleine !) pour qu’elles soient normalisées pour notre enfant.
- L’aide est de perdre notre concentration sur les résultats, ce qui signifie prendre notre œil off le prix et rester juste là où notre enfant est dans le processus.
- L’aide es de Faire confiance à nos enfants pour qu’ils laissent les tâches qu’ils ont choisies inachevées et peut-être y revenir plus tard ou non, comme ils le souhaitent.
- L’aide est d’offrir des suggestions minimales et alors, seulement si la frustration augmente, offrant le moindre peu d’aide. Aider le moins possible permet aux enfants de s’approprier pleinement leur réussite, que ce soit à ce moment-là ou à un moment ultérieur.
Plus que de donner le message, « Quand tu as des ennuis, tu cries et je te sauve », nous aimerions te transmettre le sentiment, « Je pense que tu peux le supporter, mais sinon, je suis là. »Magda Gerber, Dear Parent : Soigner les nourrissons avec respect
(Vidéo d’inspiration et belle photo de Karen Lewis Dalton !)
Je partage davantage cette approche respectueuse en
Elevating Child Care : Guide du respect des responsabilités parentales